L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christelle - Épisode 34

                                        Christelle sait se montrer pleine d'initiatives

 

Nous sommes entrain de marcher sur un sentier escarpé. Le ciel s’est légèrement voilé. Il fait chaud. Il n’y a pas le moindre souffle de vent. Pas la moindre brise. L’enchantement le partage à l'émerveillement. La sérénité que procure la vue, où que l'on porte son regard sur ce paysage magnifique, est des plus reposantes. Nous nous arrêtons d'ailleurs plusieurs fois pour admirer ce spectacle grandiose. Puis nous repartons comme des écoliers rentrant de l'école. Main dans la main. Le bonheur est indicible. À chaque arrêt, nous nous faisons des bises. Christelle et moi nous marchons d’un bon pas. Nous portons nos petits sacs à dos. Ils contiennent nos provisions pour le repas du soir.

 

Christelle me montre l’étendue des sommets rocheux. << Regarde ! C’est magnifique ! Et en plus nous sommes seuls ! >> me fait-elle avant de se serrer contre moi. Nos corps chauds, une fois encore, s’ajustent comme les pièces d’un puzzle. Nous prenons quelques photographies. Je prête mon épaule en m'accroupissant. Ainsi Christelle y pose son appareil. Elle se concentre. Me chuchote à l'oreille, penchée en avant : << Attention, on ne bouge pas pendant le jingle ! >>. Elle chantonne un instant puis appui. J'entends le déclic. << Dans la boîte ! >> lance t-elle alors. Nous tentons de nous orienter grâce à la carte. Il est dix sept heures. Au loin, il y a le massif du Mézenc.

 

Nous reprenons notre marche. Quelques arbres rares nous offrent l'ombre de leurs feuillages. Un peu de fraîcheur également. Enfin il y a quelques souffles d’un vent léger et rafraîchissant. Nous percevons le bruit que font les branches au-dessus de nos têtes. Des papillons multicolores virevoltent partout autour de nous. Parfois c'est un bourdon qui erre en tournant autour de nous. Curieux et inoffensif. Nous sommes à flanc d’un ancien volcan. Nous avisons un petit tertre rocheux. Nous avons fait une belle boucle. Il nous reste trois bons quart d’heure avant de revenir à la voiture. Nous regardons, époustouflés, ce paysage sauvage, séculaire. Merveilleuse région que cette Ardèche.

 

Silencieux, assis sur la roche, nous admirons cet environnement magique. Christelle se lève soudain. Elle se positionne à quelques mètres et s’accroupit en soulevant sa jupette plissée. La jeune fille est face à moi, les cuisses largement écartées, sans culotte. Je suis amusé par ce soudain spectacle que m’offre ma coquine. << Tu viens ? >> lance t-elle, espiègle. Je m’avance à quatre pattes comme un animal. Je me mets à japper, ce qui fait rire la jeune fille. << Tu remues aussi la queue quand tu es content ? >> lance t-elle avant de rire aux éclats. Elle rajoute : << Médor veut de l'eau ou sa pâtée ? >>. Je me redresse pour imiter un canidé faisant le "beau". J'ai l'air d'un vrai con. C'est sûr.

 

Arrivé devant elle, je me mets à plat ventre en appui sur mes coudes. Je m’apprête à avancer ma bouche entre ses cuisses. Christelle pose alors sa main sur ma tête et me maintient fermement par la nuque. Presque immédiatement elle lâche un jet de pisse qui vient se briser sur mon visage. La jeune fille s’arrête puis recommence. Elle le fait à plusieurs reprises. J’ai un T-shirt de rechange dans mon sac. Je laisse au lecteur d'imaginer ma surprise et mon étonnement. Je ne m'y attendais pas du tout. J'adore les initiatives que peut prendre ma jeune complice mais à l'instant précis j'avoue que c'est surprenant. Une pisse chaude qui me mouille les cheveux. Ça dégouline sur mon visage.

 

Christelle, sans cesser de pisser m’attire soudain d’un mouvement sec. Elle impose un mouvement de balancier à ses hanches pour se positionner au mieux. J’ai maintenant la bouche pleine de pisse contre son sexe. C’est un liquide chaud qui me dégouline partout. Je veux dire quelque chose. N'importe quoi mais parler. Prononcer un mot. Impossible. La jeune fille me maintient fermement le visage entre ses cuisses. Je lèche, je suce, je suis étonné par cette initiative. Je manque également de me noyer en l'entendant rire de sa farce. << Prank dear Julien ! >> dit elle en imitant mon accent Écossais. Christelle se laisse soudain tomber au sol. Les cuisses écartées, elle se fait brouter.

 

Cela doit être tellement délicieux qu’il ne se passe même pas cinq minutes. La jeune fille se cambre soudain. Christelle émet un long gémissement qui se termine en râle de jouissance. Elle a son premier orgasme. Elle tente à présent de me repousser. Moi, je lutte un peu. Je veux en savourer encore. Christelle déclare forfait et me laisse déguster une seconde fois. Le mélange indéfinissable des goûts suaves est absolument divin. Sa cyprine s'écoule dans ma bouche évoquant la substance de l'œuf. Je me régale en prenant subitement conscience que moi aussi je gémis. La roche du sol achève de s'imprégner de la pisse de ma compagne d'aventure. Ça sèche dans ma nuque et picotant.

 

Cette fois, la jeune fille réussi à tenir plus longtemps. Pourtant, je l’entends gémir. J’ai de la pisse qui me dégouline des cheveux. Avec mon index, je joue un peu à l’entrée de son intimité. << Mmhh, j'aime quand tu fais ça ! >> s'écrie t-elle d'un ton passionné. Je suce un peu plus fort. Je cesse pour titiller son clitoris du bout de ma langue. Christelle arrive au plaisir extrême une seconde fois. Elle est couchée au sol. Je suis allongé à ses côtés. Je dois reprendre mon souffle moi aussi. Ce cunnilingus m'a mis en appétit. Christelle reste allongée sur le dos. Elle se met à parler. Ses impressions quand à nos folies à répétitions. Je l'écoute. Je partage ses ressentis. Elle les exprime si parfaitement.

 

Nous restons ainsi un nouveau quart d’heure. << J’ai faim ! Tout ça m’a ouvert l’appétit ! >> s'exclame Christelle en se redressant. La pisse est sèche. Je retire mon T-shirt dont le haut est encore humide. Je reste torse nu. Nous mangeons avec un nouveau plaisir. Des abricots, des brugnons, des pêches. Les fruits restant nos préférences par ces chaleurs parfois accablantes. Christelle chantonne, me fait des bises. << Je t’aime comme une folle ! Et toi ? >> s'écrie t-elle, aussi surprenante que lors de ses initiatives coquines. Ma complice, soudain d’une extrême gravité, me fixe, tient le noyau de sa pêche entre le pouce et l'index. Je ne sais quoi répondre. Je finis pas dire : << Moi aussi ! Comme un fou ! >>

 

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24/10/2023

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