L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine reçoit le ramoneur

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                                                                    Le ramoneur

Dans la boîte aux lettres je trouve l'avis de passage d'une entreprise de ramonage. Cette entreprise propose un contrôle de notre évacuation de fumée. Nous habitons dans une demeure du XIXème. Nous sommes au début du mois de novembre. Ce contrôle obligatoire laisse quand même le choix de l'entreprise. Après en avoir débattu, Christine et moi, plutôt que de consulter tous les appels d'offres, nous décidons de contacter "Glando-Ramonage". Entreprise dont nous avons la publicité sous les yeux.

Rendez-vous est pris pour le second mercredi de novembre. Quatorze heures. Le dimanche précédent, alors que nous faisons l'amour, je propose à Christine un ramonage complet de tous les conduits de la maison. Ma compagne, ravie de cette proposition, m'avoue en avoir l'idée depuis quelques jours. La visite d'un inconnu à domicile étant un de ses fantasmes . Il suffit de scénariser cette éventualité puis de passer aux actes. Ce n'est pas le premier employé qui intervient chez nous. Certainement pas le dernier.

Le conduit principal est situé à la cave, derrière la chaudière à mazout. Le second est celui de la cheminée du salon. Il y a de grandes cheminées dans chaque pièces. Comme nous avons le désir d'allumer des flambées magnifiques dans nos cheminées, il est prudent d'en faire vérifier la parfaite ventilation. Ainsi que leurs nettoyages. Je suggère que l'opportunité d'un ramonage plus intime serait l'idéal. Christine me rejoint dans cette idée.

Mercredi matin Christine plutôt excitée est entrain de me sucer sur le canapé. Nous venons de faire un peu de ménage. Vacances de la Toussaint. J'ai passé l'aspirateur pendant que ma compagne passait le plumeau sur les meubles. Il est onze heures trente. Nous mettons au point les derniers détails afin que tout se déroule comme Christine le souhaite. Je propose de cesser cette fellation pour nous atteler à la préparation du repas de midi.

Nous préparons un délicieux gratin de courgettes, riz complet avec parmesan. Le tout accompagné d'une salade d'endives et de carottes saupoudrées de levure diététique en paillettes. Comme souvent, en périodes de "fêtes", il y a de la glace en dessert. Après avoir fait la vaisselle, nous retournons au salon. Je lèche longuement Christine. Elle est vautrée dans un des deux profonds fauteuils, les jambes relevées sur chacun des accoudoirs. Je suis un passionné de cunnilingus.

Il est prévu que je reste caché dans la grande armoire ancienne entre le bahut et le piano droit. De là, par la petite grille, j'ai une vue parfaite sur l'ensemble de la pièce. Par mesure de précaution, pour empêcher tous craquements intempestifs, nous bourrons le meuble de quantité de chiffons et de vieux vêtements. Christine commence à rythmer le mouvement de son bassin. L'orgasme n'est sans doute plus très loin. Je cesse mon cunnilingus savoureux. Il est treize heures cinquante.

Nous mettons les coussins en ordre. Un véhicule se gare dans la cour. Je regarde par la fenêtre. C'est la voiture de "Glando-Ramonage". J'entre dans l'armoire. Christine vérifie la bonne fermeture du meuble. Ma compagne est vêtue de sa jupe. Bleu nuit. D'un pull bleu passé sur un chemisier blanc. Chaussée de souliers noirs fermés à talons hauts, sa silhouette en est sublimée. Un coup de sonnette tinte dans le silence de la maison.

Le ramoneur est un homme mince, plutôt grand, la quarantaine, vêtu d'une veste et d'un pantalon de toile noire. Christine l'invite à la suivre. Elle l'emmène à la cave pour la première intervention. Elle remonte. Christine me parle devant la fine grille de la porte de l'armoire. Ce n'est pas vraiment son type d'homme mais le désir d'un moment vicelard reste le plus fort. Elle s'assoit sur le fauteuil. Celui où je l'ai léché il y a un quart d'heure. Elle feuillette "Vogue". Elle écarte ses cuisses pour me montrer son sexe. Christine me sourit. Un clin d'œil.

Le ramoneur remonte avec son matériel. Il précise que tout est en ordre. Une intervention a déjà eu lieu au printemps. Par acquis de conscience le monsieur propose quand même de vérifier le conduit de la cheminée du salon. Christine précise que son mari rentre d'ici une petite demi-heure au maximum. Comme toujours, cette formule apporte un certain confort d'esprit. Une sécurité supplémentaire. Pendant que le ramoneur s'affaire devant la cheminée, Christine commence son numéro exhibitionniste.

Le quidam s'en rend rapidement compte. Il regarde discrètement la jeune fille accroupie devant le porte revues. Là, balayant la suie, il se dit probablement qu'elle ne doit pas être farouche. Il lui en fait part d'un air amusé. Christine, entreprenante, écarte un peu plus ses cuisses. Elle propose au monsieur un ramonage de ce conduit-ci. Le bougre, se redressant, ouvre son pantalon. Il s'approche avec le pantalon et le slip aux chevilles. Un sexe de beau calibre en érection.

Christine se met à le renifler avant de le sucer avec avidité. Je suis dans mon armoire. Je retiens ma respiration. Je me masturbe doucement. J'observe le "film" avec attention. Mon actrice préférée est entrain de nous offrir un moment grandiose. Ma compagne se retire. Elle se couche au sol, les jambes largement écartées. L'employé de "Glando-Ramonage" s'allonge sur elle pour s'y introduire. Ma compagne passe ses jambes autour de celles du ramoneur. Elle se met à bouger au rythme de celui du monsieur.

Il tente de l'embrasser. Je sais que c'est la seule chose avec la sodomie que Christine refuse de faire avec un inconnu. Aussi, elle détourne la tête. Le ramoneur, tout à son "affaire", n'insiste pas. Les yeux fermés, imprimant à son bassin un rythme de plus en plus rapide, Christine se retire soudain. Le monsieur, un peu décontenancé, la regarde pencher sa tête vers son sexe. Christine le prend en bouche pour le pomper. La saisissant par les cheveux, il lui enfonce sa queue au fond de la gorge. Christine suffoque en gémissant.

Le ramoneur bascule sur elle. Couché sur la jeune fille, son sexe profondément enfoncé dans sa bouche, il la tient par les oreilles en bougeant son bassin. Christine tente de repousser ce corps qui l'étouffe. << Tu veux de la biroute, je vais t'en donner, tu va voir ! >> fait le malotru avant de se relever. Il continue à la tenir fermement par les cheveux. Là, à genoux, Christine est obligée de pomper à nouveau. Je la connais bien. La situation n'est pas vraiment pour lui déplaire.

Christine, en gémissant indique la montre à son poignet. Le ramoneur comprend le message. Il se cabre. Les jambes fléchies, il éjacule. Son corps, animé de spasmes successifs, se met à trembler de tout son long. Enfin il relâche la jeune fille. Elle essaie de déglutir en s'essuyant la bouche. Elle se relève. Elle demande au monsieur de la suivre dans l'entrée pour le payer. J'en profite pour sortir de mon armoire. Je passe silencieusement par la véranda pour sortir de la maison. Je fais mine d'arriver. Je donne deux coups de sonnette avant d'entrer.

Christine, décoiffée, les yeux encore humides, me présente. Faisant semblant de rien, je salue le coquin. Je lui demande si tout s'est bien passé. Le ramoneur précise que tout est parfaitement en ordre. Cela fait deux cent francs. (Environ trente euros d'aujourd'hui). Je paie le bougre qui s'en va. Il ne s'est plus jamais manifesté. Christine n'a jamais été importunée.

Après sa douche, Christine a une furieuse envie de se faire prendre à nouveau. Gentleman et toujours serviable, je lui fais un remarquable "cadeau". Je suis tellement excité par ce que j'ai vu depuis mon armoire. Nous baisons jusqu'aux environs de dix sept heures.

C'est sécurisant "d'allumer" lorsque les conduits ont été parfaitement ramonés. L'hiver peut arriver en toute quiétude...

 

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23/01/2015

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