L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine découvre un Glory Hole - (Episode 3)

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                                                        Christine découvre un Glory Hole - (Episode 3)


Je retiens mon souffle. Là, en apnée, j'observe tout ce qui se passe. Christine se relève. Elle remonte son pantalon après s'être essuyée. Elle s'accroupit devant la cloison. Son visage à une trentaine de centimètres du sexe qui pend par le trou. Longuement elle scrute la chose. Elle me sourit en mettant sa main sur sa bouche comme pour rire d'une blague.

A plusieurs reprises elle rapproche sa tête pour renifler le truc. Je suis étonné par la longueur de la peau fripée du prépuce. Ce sexe est plutôt fin, au teint mat, d'approximativement dix centimètres. Depuis le coin où je suis je peux sentir l'odeur assez forte. Une fois encore un manque d'hygiène élémentaire se caractérise par une odeur assez répugnante. Une puanteur rappelant un mélange de poisson et de fromage.

Christine me regarde en faisant la grimace. Elle lutte pour ne pas éclater de rire. Elle s'attache les cheveux en catogan. J'admire son courage. Je sais que la situation l'excite considérablement. Son attirance pour les "trucs" glauques s'illustre une fois encore. Pour notre plus grand plaisir. Et surtout le sien. Christine, penchant sa tête sur le côté, prenant appui de ses mains contre le mur, happe le sexe du bout de ses lèvres.

Je me penche pour rapprocher ma tête. Je regarde Christine téter. Alternant les léchages et les sucions. L'extrémité de la peau fripée du prépuce est mouillée. Je ne sais pas si ce sont les prémices du liquide séminal ou la salive de ma compagne. J'observe, halluciné, cette scène surréaliste. Un mélange d'excitation et de dégoût m'habite tout comme ma compagne.

Depuis cinq minutes Christine se livre ainsi à ce prélude. Je sais maintenant la nature du liquide qui dégouline. Une légère coulure s'écoule même déjà sur le mur. Un long filament gluant reste accroché à l'extrémité du prépuce. Christine, la nuque cambrée, par en-dessous, avec sa bouche ouverte, attrape à la fois le liquide visqueux et le sexe. Cette fois elle se met à sucer vraiment.

L'inconnu a enfin un début d'érection. Christine a la moitié de la longueur du sexe dans sa bouche. Ses lèvres l'entourent comme une ventouse. Elle reste ainsi longuement. Immobile. Je peux entendre les gargouillis à l'intérieur de sa bouche. Pour déglutir, elle se retire légèrement, tirant sa tête en arrière. Je distingue des bulles se former aux coins de ses lèvres. Elle en gémit de plaisir. Poussant des << Mmmmmh >> et des << Waaaaaaa >>...

Pour avaler, parfois, il lui faut retirer sa bouche. Je peux voir le "trop-plein" s'écouler. Des épanchements coulent alors au sol dans de longs filaments épais et visqueux. Avant d'y retourner, en gémissant de bonheur, elle me lance un regard follement amoureux. Quelques fois, lorsque je la regarde fournir quelques efforts pour déglutir, elle ouvre ses yeux pour me faire un clin d'œil.

A genoux sur un sachet en plastique tiré de notre petit sac à dos, Christine suce avec un plaisir évident. Parfois, comme pour une plaisanterie, lorsqu'elle se retire quelques instants afin de déglutir, elle me fait des grimaces de dégoût. La situation dure ainsi une bonne vingtaine de minutes. L'inconnu a perdu son érection. Christine pompe avec délice un sexe parfaitement mou et visqueux.

Retirant sa bouche afin de déglutir une nouvelle fois, Christine se saisit du sexe entre son pouce et l'index. Elle le décalotte. Ce qu'il y a là, entre la peau et le gland, est dégueulasse. Un véritable fromage, jaune, gluant, s'étirant en filaments visqueux qui me procure un haut le cœur. J'ai subitement envie de vomir. Sans même évoquer l'odeur immonde.

C'est à ce moment précis que l'inconnu lâche une giclée de pisse jaunâtre qui vient éclabousser le visage de Christine. Cette dernière, après un mouvement réflexe, se rapproche pour lécher l'ignoble purée. Elle en a qui colle autour de sa bouche, aux coins de ses lèvres et sur son menton. Je sais que ma compagne ne recule pas devant les trucs les plus crades, mais là...

Elle a du fromage jusque sur le bout de son nez puisqu'elle renifle entre deux léchages. Lorsqu'elle a parfaitement nettoyé le gland elle s'engouffre le sexe dans la bouche. Elle enfonce le membre dans sa bouche, pompant en gloussant, collant ses lèvres contre les poils abondants du pubis de l'inconnu. Ce dernier a un réflexe. Soudain, Christine se retire prestement. En même temps qu'un jet se brise dans sa bouche encore ouverte.

Je regarde comme hypnotisé par ce spectacle étonnant. Je suis à présent terriblement excité. J'ouvre ma braguette afin d'en sortir ma turgescence. Je me masturbe doucement en contemplant cet invraisemblable fellation. La pipe que fait ma compagne à ce type. C'est comme un film. Un film dont l'actrice est ma merveilleuse compagne. Elle gémit. Parfois, elle pousse des petits cris de ravissements. Les yeux fermés avec une expression de sublime bonheur. Radieuse.

La suite allait me réserver bien d'autres surprises...

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21/11/2015

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