L'ECRIT DE JOIE

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Christine découvre un Glory Hole - (Episode 7)

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                                              Christine découvre un Glory Hole - (Episode 7)

 

C'est notre dernier jour de ce week-end prolongé. Ce dimanche est plutôt gris et sous un climat morose. Nous avons mis à profit ces trois jours pour visiter des musées et quelques hauts lieux. Nous avons décidé de prendre la route du retour en début de soirée. Il nous reste encore toute cette journée pour nous offrir du bon temps. A midi, nous allons manger dans un petit restaurant typique.


Tout en mangeant, nous évoquons ce court séjour en nous promettant d'y revenir pour un séjour plus long. Christine évoque sa découverte en riant. Ce Gloryhole lui laisse un souvenir particulier. Ma compagne me parle d'un endroit similaire, à une dizaine de kilomètres de chez nous. Dans les toilettes désaffectées d'une usine abandonnée dont certains locaux servent encore de dépôts.

Je lui demande de me raconter dans le détail comment elle a découvert ce lieu. Si elle y a déjà connu quelques émotions. Christine me répond par la négative mais m'avoue que plus jeune, elle adorait aller "explorer" et découvrir. De préférence dans des lieux peu fréquentés. Ma compagne m'avoue s'y arrêter quelques rares fois en revenant de cours. Elle me propose de me le faire découvrir. Elle y a souvent traîné durant son adolescence.

Cette conversation aiguise nos curiosités et réveille une certaine excitation. Christine me raconte les émotions vécues ces deux derniers jours. Pratiquer des fellations sur des inconnus est devenu une sorte d'addiction. C'est pour elle à la fois terriblement excitant et terriblement dégoûtant. Ce sont ces deux sentiments, intimement liés, qui provoquent cet irrépressible désir de le faire. De plus, ma complicité et ma proximité, permettent les plus audacieuses aventures. Elle m'en remercie une fois encore.

Nous en arrivons tout naturellement à évoquer le Gloryhole de l'étang. << Et si nous allions y faire un tour cet après-midi ? >> me fait elle en riant. Je la regarde. Ses yeux pétillants de malice, espiègle, elle rajoute encore : << On prend le second vieux coussin de la voiture ! >>. Je la regarde longuement. Elle me fait remarquer les deux boutons autour de sa bouche et rajoute : << Jamais deux sans trois et jamais sans toi ! >>.

Après le repas, nous nous promenons dans le bourg. Vers quinze heures, Christine soudain impatiente, me propose de prendre la voiture pour nous rendre à l'étang. Nous y sommes pour seize heures. Je gare la voiture au même endroit. Le lieu est moins désert que les deux jours précédents. Il y a une famille qui se promène. Deux pêcheurs assis au bord de l'eau. Un gros type range du bois en stères près du ponton.

Christine, vêtue d'une jupe, d'un pull, chaussée de bottes, ses cheveux en libertés, me propose de me dissimuler. Au cas où... Je passe donc derrière les bosquets pour venir à l'arrière du cabanon. De ma cachette, je peux observer les alentours. Ma compagne, marchant lentement sur le sentier, les bras croisés, s'avance vers le ponton. Le gros type la salue. Il engage la conversation avec elle. Christine et lui bavardent une bonne dizaine de minutes. De l'endroit où je me trouve je ne peux rien entendre.

Je vois le gros type montrer le cabanon des toilettes de son doigt. Christine montre elle aussi la même direction. Secouant la tête, sans doute pour remercier l'homme, ma compagne arrive au bas de l'escalier. La main droite entre ses cuisses, se touchant au travers du tissus de sa jupe, elle lance encore quelques mots à l'inconnu. Celui-ci, comme consterné, regarde la jeune fille monter les marches et entrer dans les toilettes.

Christine m'ouvre la fenêtre. J'entre dans l'étroit cabinet. Du sac à dos, je tire le vieux coussin. L'autre, encore trempé, abandonné là, est dans un coin. Je pose le neuf au sol. Christine me fait : << Attends-moi, je vais voir, je reviens de suite ! >>. Par la porte entre baillée, je vois Christine guetter à la porte du cabanon. Elle reste ainsi quelques minutes. Soudain, rapidement, elle vient me rejoindre en disant : << Il vient ! >>.

S'accroupissant au-dessus de la fosse des toilettes, les cuisses écartées dans la direction du trou dans le mur, elle se met à lâcher des petits jets brefs et puissants. C'est une façon imparable que ma compagne utilise souvent pour attirer l'attention. Elle a acquis une certaine maîtrise dans cet "art". Nous entendons le type essayer d'ouvrir la porte.

Il entre dans le cabinet voisin. L'inconnu doit parfaitement connaître l'existence du trou dans le mur. << Alors, ça se passe bien ? >> demande t-il d'un ton moqueur. Sa voix provient de l'orifice. Christine, fixant le mur, souriante, répond : << C'est parfait, merci ! >>. Devant tant d'aplomb le type reste silencieux. Une minute peut-être. Soudain son sexe apparaît par le trou...

 

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25/11/2015

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