L'ECRIT DE JOIE

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Christine et l'inconnu de Montségur (partie 7)

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                                                       L'inconnu de Montségur - ¨Partie 7) -

 

Le visage de Lise, tout près du mien, à cause de l'étroitesse de la lucarne, me permettait d'entendre le souffle fort et régulier de sa respiration. Comme moi, elle se masturbait en regardant ce qui se passait dans l'écurie. Parfois, suite à quelques apnées, la fille était obligée d'inspirer longuement. J'appréciais beaucoup. Elle devait apprécier d'entendre la même chose venant de moi. Les apnées provoquées par la concentration extrêmement excitante de l'instant, étaient nombreuses.

 

Pierre, passa sa main droite sous la jupe de la jeune fille. Là, imprimant une accélération à son mouvement du poignet, il masturbait Christine de plus en plus vite? Elle se cambrait. Elle secouait son bassin dans tous les sens. Lise et moi, depuis l'extérieur, nous pouvions l'entendre crier de plaisir. Soudain, d'un coup sec, l'homme retira sa main. Une giclée de pisse vint se briser sur le ciment du sol. Christine se "lâchait" en hurlant de jouissance.

 

Pierre détacha les mains de Christine. Celle-ci, les épaules et les bras endoloris, se les massait. Par contre, elle fut obligée de rester avec les jambes entravées. La soulevant facilement, l'homme la déposa sur le plaid déplié sur les ballots de paille. Il noua ses poignets à des anneaux vissés dans les planches. Les pieds de ma compagne pendaient dans le vide. Pierre, debout devant elle, lui écartant les cuisses la pénétra d'un coup de reins.

 

Une fois encore, Christine, se mordillant la lèvre inférieure, la tête rejetée en arrière et les yeux clos, se faisait baiser sans ménagement. Pierre avait un rytme rapide et soutenu. Là aussi, depuis notre cachette, Lise et moi pouvions entendre les cris plaintifs de la jeune fille. Cela dura ainsi un bon quart d'heure. Pierre poussait des rugissements d'animal en rut en parfaite symbiose avec ceux de ma compagne.

 

Il se retira. Il monta sur le ballot de paille et se coucha sur la fille, son sexe sur son visage. Là, il recommença à bouger en rythme, longuement. Il se retira. Détachant Christine il se mit à lui parler avec animation. Nous pouvions voir la jeune fille de plus en plus amusée, éclater de rire à plusieurs reprises. Lise et moi, regardant ma montre, devinions qu'il était temps de feindre le retour de promenade. Aussi, en courant, nous retournâmes aux chevaux.

 

En pénétrant dans la cour de la ferme, assis sur nos montures, nous découvrîmes Christine assise sur une des marches de l'escalier d'entrée. Elle se leva pour venir vers nous. < Vous avez "appréciez" ? > nous fit-elle. Lise, sans me laisser le temps de répondre, répondit : < Chapeau ! J'aime beaucoup vos "chansons" durant vos "concerts" ! >. Nous éclatâmes de rire. A ce moment, poussant la brouette, comme s'il travaillait, Pierre sortit de l'écurie.

 

< Alors ? Et cette balade ? C'était comment ? > nous fit-il en posant la brouette. < Superbe ! > fis-je pendant que, discrètement Lise me donnait un coup de pied en murmurant : < Menteur ! Vicieux et menteur !>. < Comme toi ! >, lui répondis-je dans un souffle. Il nous fallait partir. Pierre nous proposa de revenir demain et de partager le repas du soir. Nous acceptâmes et promirent de revenir pour dix sept heure, vendredi.

 

Dans la voiture, Christine me fit part de l'immense plaisir et de l'intensité du moment qu'elle avait vécu. Je lui fis part de mon interrogation. Je ne voyais jamais éjaculer ce type. < Je ne sais pas quand il jute, ça coule tout le temps ! Je n'ai jamais vu une telle source de foutre ! Il est intarissable > me raconta ma compagne avec forces détails afin que je comprenne bien .

 

Dans la voiture, je regardais ces cheveux encore humide après la rapide douche qu'elle avait prise. Elle s'était changée et ses vêtements trempés étaient dans un sachet en plastique, entre ses pieds, dans la voiture. Enchantée, elle me fit des sourires merveilleux en me confiant les plus infimes détails de sa nouvelle aventure...

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07/03/2015

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