L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi dans la cabine d'essayage

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                                                         La fellation en cabine d'essayage

En ce mois de septembre 1996 nous venons de rentrer de vacances. Un an avant la naissance de Clémentine, ma compagne actuelle. J'y pense en écrivant ces lignes. Afin de rester dans un état d'esprit ludique, plein d'insouciance, nous décidons d'aller nous acheter de nouveaux vêtements. Nous n'en n'avons nul réel besoin. C'est juste pour rester dans le dilettantisme. Un état d'esprit que nous apprécions tout particulièrement. A cette fin nous nous rendons dans un hypermarché de la région.

En règle générale j'ai une préférence pour les vêtements que je trouve en boutique. Christine n'a pas de goûts particuliers. Elle fonctionne aux "coups de cœur". Un vêtement lui plait, elle se l'offre. Très féminine, elle porte le plus souvent son choix sur des jupes, des chemisiers et des pulls. Nous avons deux armoires. Une toute petite moitié de l'une d'entre elle m'est consacrée. L'autre armoire et la moitié de la mienne sont consacrées aux affaires de ma compagne. Les couples comprennent ce que je sous-entends. Pareil pour les chaussures.

Là, au rayon des pantalons, j'en trouve deux qui attirent mon attention. Deux pantalons à pinces. En toile de lin beige. J'ai de la chance, c'est ma taille. Deux "38" qui sont là à m'attendre. Christine me propose d'aller en cabine afin de les essayer. Nous les hommes, sans faire de généralité, nous rechignons souvent à passer par la cabine d'essayage. Ce sont nos compagnes qui insistent le plus souvent. Et elles ont bien raison...

Nous voilà donc dans une des six cabines. Notre choix s'est porté sur celle du fond à droite. La jeune fille responsable du rayon nous offre deux petits badges en plastique jaune. Un pour chaque vêtement. J'enlève mon bermuda hawaïen pour essayer le premier pantalon. Il fait encore chaud. Christine profite de l'aubaine. Elle met sa main dans mon slip. Il me faut faire le contorsionniste pour enfiler le vêtement. La main de Christine dans ma braguette, je m'observe dans le miroir. L'habit semble taillé pour moi.

Christine me fait remarquer que le pantalon me va très bien. Que pour 260 francs, (environ 38 euros d'aujourd'hui), j'aurais bien tort de ne pas l'acheter. Tout en ayant sa main dans mon slip, j'essaie le second pantalon. D'une coupe légèrement plus étroite, il me va comme un gant. Certes, il eut été préférable qu'il m'aille comme un pantalon ! Mais je m'en contente sur les conseils avisés de Christine. Il faut toujours écouter les conseils de la fille qu'on aime. Toujours...

C'est là que Christine, s'accroupissant devant moi, me sort le sexe du pantalon. Entre le bas de la porte et le sol il doit y avoir environ vingt centimètres de vide. Je m'assois sur la petite banquette pour me laisser sucer. Là, confortablement installé, j'éprouve soudain un curieux sentiment. La jeune fille du rayon vêtement va et vient dans le petit couloir. Christine commence sa sublime fellation habituelle. Refermant la ventouse de ses lèvres sur mon prépuce. J'en frissonne de plaisir.

Les choses perdurent ainsi depuis cinq bonnes minutes. Christine est à genoux sur mon bermuda. Je la regarde pomper et déglutir. Soudain, contre la porte, deux petits coups frappés. La voix de la jeune fille. Elle demande : << Ils vous vont ? La taille, ça va ? >>. Je lève la tête pour répondre : << Oui, oui, c'est parfait ! >>. Christine me fait remarquer que la coquine doit avoir compris ce qui se passe dans notre cabine.

Nous décidons d'en rester là. Christine propose de donner suite à cette pipe dans un autre endroit. Nous sortons de la cabine. Le regard malicieux de la jeune fille donne sans doute raison aux supputations de Christine. J'ai toujours quelques soucis avec les pantalons des grandes surfaces. Je taille du "38" mais ils sont souvent très limite au niveau longueur. Mon mètre quatre vingt huit est un handicap pour les coupes "standards". D'où ma préférence pour les choix offerts en boutiques.

Une fois dehors, Christine me fait remarquer qu'elle est certaine que la jeune fille des vêtements nous a mâté un moment. Elle a vu ses pieds dans le miroir de la cabine d'en face. Par le jeu des miroirs il est fort possible de voir ce qui se passe dans l'autre cabine. Je fais confiance aux déductions de Christine. Grande vicelarde elle s'y connait plutôt bien en configurations équivoques.

Une fois dans la voiture, sur le parking même du supermarché, Christine reprend les "choses" là ou elle les a laissé. Tout en roulant à quelques kilomètres heure, j'apprécie l'indicible caresse...

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22/02/2015

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