L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi devant sa collègue (Partie 2)

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                                                  Christine me suce devant sa collègue - (Partie 2) -

Il est quatorze heures. Deux coups de sonnette. Je suis assis au bureau entrain de faire un peu d'administratif. J'entends Christine dévaler l'escalier. Elle est à l'étage. Je reconnais la voix de Clarisse. Christine la fait entrer. Les deux filles viennent me rejoindre. Désireux de fermer la dernière enveloppe de mes courriers prêts à l'expédition, je néglige quelque peu les civilités d'usages.

Je me lève pour saluer Clarisse. Elle a un sourire radieux. Je me propose de préparer le thé, les petits gâteaux. Qu'elles prennent place au salon. Avant d'aller tous les trois dans l'atelier. Les filles s'assoient sur le canapé. Je vais à la cuisine. Tout en préparant les ustensiles, je peux les entendre évoquer leurs découpages et leurs collages. La fête de fin d'année scolaire aura lieu d'ici trois semaines.

Je reviens au salon en portant un large plateau. Je le dépose sur la petite table basse. Les tasses, les cuillères, le sucre, la théière fumante, les petits gâteaux. De délicieuses petites crêpes sèches roulées en "cigare". Un pot de miel crémeux. Je prends place dans le fauteuil en feuilletant le dernier "Géo". Les filles, tout en se servant, bavardent à propos de la fête du lycée.

Il est entendu que Clarisse reste avec nous pour la soirée. Je me réjouis donc déjà à l'idée de préparer un bon repas. Il est quinze heures. Nous quittons le salon pour l'atelier. Je m'assois devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Christine et Clarisse reprennent leurs activités de découpages et de collages. L'ambiance de l'atelier est caractéristique de ces endroits particuliers. Lieux propices à la méditation, aux bruits feutrés, aux voix basses et à la création.

Nous travaillons ainsi jusqu'à dix neuf heures. Je laisse les filles. Je vais à la cuisine. Une nouvelle création m'attend là. Pour le repas de vingt heures je prépare un gratin de courgettes farcies. Du millet doré. Avec pulpe de tomates, poivron rouge. Une salade "frisée". Les abstractions que procurent les préparations culinaires me ravissent toujours au plus haut point. Presque autant que la peinture.

Je mets la table pour vingt heures. Les délicieuses effluves du gratin flottent dans la cuisine. Je vais chercher les filles dans l'atelier. Christine est à genoux, des ciseaux à la main. Clarisse tend une grande feuille maintenue sur l'un de ses bords par du papier adhésif. Ça bosse. J'apporte dans l'atelier un peu des odeurs de cuisine. Elles se redressent ensemble pour se précipiter à ma suite. Elles ont faim les bougresses !

Nous nous régalons. Je suis un "Cordon Bleu". Les convives ne sont donc jamais déçus. De plus, nos invités découvrent toujours les saveurs variées de la cuisine macrobiotique. En dessert, les coupes glacées habituelles. Pralin, pistache et vanille restent nos parfums de prédilection. Nullement biologiques mais délicieuses quand même. Ces glaces d'une marque Hollandaise ravissent le palais et fondent dans la bouche d'une façon unique...

Les filles ont prévu de ranger leurs affaires afin de passer une soirée tranquille. Elles filent donc à l'atelier pendant que je fais la vaisselle. Je viens les rejoindre au salon avec le café. Une fois encore, vautrés dans les profondeurs du canapé et du fauteuil, nous devisons de tout et de rien. Christine, assise à mes côtés, commence à me toucher la braguette. Clarisse me fait un de ses sourires évocateurs. Elle recommence à me fixer avec insistance.

Me voilà avec la braguette ouverte et ma turgescence fièrement dressée vers le plafond. Christine me masse la turbe doucement tout en bavardant. Clarisse évoque les vacances dans sa famille à Sarlat. Le Périgord noir. Tout cela comme si rien de "troublant" ne se passait réellement. J'ai une érection démentielle. Je me mêle à la conversation. Je connais très bien cette région magnifique. Clarisse, tout en dégustant son café, me regarde par "en-dessous". Avec cette insistance qui achève de me troubler.

A présent Christine est penchée sur le côté. Tenant mon sexe à sa base, elle l'agite dans la direction de Clarisse. Cette dernière observe avec attention. Elle éclate de rire plusieurs fois. Au bout de quelques minutes de ce jeu sex-traordinaire, ma compagne se met à me sucer. Clarisse recommence à me fixer. De "torride" l'ambiance devient vicieuse. J'apprécie l'indicible caresse. Encore davantage sous le regard de la voyeuse. Je lui fais un clin d'œil. Cela la trouble sans doute car Clarisse baisse subitement les yeux.

Plusieurs fois, pour s'accorder des pauses, Christine se redresse. Elle commente alors ce qui se passe. Clarisse, une mèche de ses cheveux dans les mains, écoute en riant. Elle pose même quelques questions précises. Lorsque ma compagne reprend son occupation, je demande à Clarisse : << Tu as déjà fait "ça" ? >>. Elle secoue la tête par la négative. Elle me rappelle que cela fait presque trois ans qu'elle est seule. Depuis ses vingt quatre ans...

Les longs moments de silence sont emplis de gémissements, de gargouillis, de chuintements, de bruits de succions. Clarisse a parfois un frisson délicat. Ses jambes croisées, une de ses mains entre les cuisses, elle observe. Nous nous fixons. A présent, à chacun de mes clins d'œil, elle répond par un des siens. Au bout d'une heure de cette activité, j'ai ma première éjaculation. Mes trois saccades habituelles suivies de la "coulée" que déglutit Christine avec avidité.

Je devine deux légers mouvements du bassin de Clarisse. Je peux me faire une idée très exacte de ce qu'elle est entrain de vivre. De ce qui est entrain de se passer. Par moment je la vois reprendre sa respiration après des apnées régulières et fréquentes. Tout ce qui se passe là, sous ses yeux, ne la laisse pas indifférente. Christine revient poser sa tête sur ma cuisse. Comme elle adore le faire, elle s'apprête à partir pour son "second tour".

Ma compagne recommence à me sucer. Je recommence à scruter le regard de Clarisse. Les échanges de clins d'œil sont fréquents. Avec ma langue je fais de rapides bosses à l'intérieur de mes joues. Elle comprend parfaitement ce que cela sous-entend. Au bout d'un moment, elle fait de même avec la sienne. Clarisse me fait des sourires extraordinairement évocateurs. Pas de doute possible. Elle ne rechignerait pas à prendre la place de Christine.

Cette situation me fait exploser de plaisir une seconde fois. Christine me vide complètement. Avec insistance et gourmandise. Ma compagne aime être "vue". Et la fellation, sous les yeux d'un tiers, femme ou homme, lui procure toujours des sensations qu'elle m'avoue "paradisiaques". Lorsqu'elle se redresse enfin pour de bon, je reste volontairement avec le sexe à l'air. Je le laisse pendre ainsi pour le restant de la soirée. Clarisse en semble ravie. Christine me regarde parfois avec un curieux regard.

Vers vingt trois heures, Clarisse prend congé. Il lui faut se lever de bonne heure demain matin. Ce dimanche elle participe au concours hippique du Bourg voisin. Rendez-vous est pris pour nous retrouver mercredi après-midi. Christine, Clarisse et moi dans l'atelier. Après le départ de Clarisse, Christine me demande : << Tu es partant pour entraîner Clarisse à la découverte de la pipe ? >>. Je m'empresse de répondre : << Avec plaisir, tu penses bien ! Un dépucelage de bouche ! Un vrai bonheur ! >>.

Christine se propose de "préparer" le terrain. Je lui fais part de ma certitude. Il n'y aura probablement pas de "préparation" à faire...

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22/02/2015

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