L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Christine et moi dans l'escalier

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                                                    Christine me suce dans la cage d'escaliers

 

Une superbe pipe dans la cage d'escalier

Ce mercredi, avec Christine, nous voulons faire une surprise à une de ses collègues enseignantes. C'est l'anniversaire d'Annie et, à cet effet, nous avons acheté des fleurs et un petit livre sur un sujet qui la passionne. Nous nous rendons donc à la Résidence où Annie loue un magnifique appartement. Un balcon qui offre une superbe vue sur la forêt voisine.

Il est quatorze heure. Le mercredi, à cette époque, il n'y a pas école. Il y a donc beaucoup de chance de trouver Annie chez elle. C'est une surprise. Aussi, après avoir pris l'ascenseur pour monter au quatrième étage, nous arrivons dans un couloir éclairé par la lumière artificielle des globes lumineux. La porte du fond. Christine sonne avec insistance. Nous attendons devant la porte avec une certaine impatience. J'aime beaucoup la compagnie d'Annie. Toujours drôle, optimiste et pleine de joie de vivre. En plus de ces qualités, elle est plutôt belle.

Force est de constater, au bout de quelques minutes, qu'Annie est absente. Aussi, m'emparant d'un stylo, sur un bout de papier, j'écris : << Que cette journée, avec la douce Annie Versaire, te soit des plus agréables ! >>. Christine et moi signons le papier avant de le glisser sous le tapis. Laissant dépasser un petit bout afin que la jeune fille, à son retour, le trouve.

Comme la journée est grise et le ciel menaçant, Christine et moi prenons la décision de profiter de notre séjour à la ville pour y faire un tour. Comme souvent, Christine me "bloque" contre le mur afin de m'embrasser passionnément. Cette façon de faire provoque souvent de fulgurantes érections. Une fois encore, je ne déroge pas à cette règle. Christine fouille ma bouche avec fougue. De sa langue exploratrice.

Nous sommes à côté de la porte de l'ascenseur. Lorsqu'il arrive, Christine saisit ma main pour m'entraîner vers la cage d'escaliers. Elle en ouvre la porte battante pour me "coincer" contre la rampe. Il n'y a pas de bruit. Les lieux sont déserts. Cet escalier ne sert qu'en cas de panne d'ascenseur. Christine palpe ma bosse avec insistance : < Je peux l'avoir, là, ici ? Tu me la donne ? > me fait-elle, espiègle.

J'écoute, tous mes sens aux aguets. je regarde vers le bas. Je regarde vers le haut. Rassuré, j'ouvre ma braguette pour en sortir mon sexe. Presque de suite Christine s'accroupit devant moi. Posant ses mains sur mes hanches, elle se met à me sucer avec cette avidité coutumière qui m'enchante. Malgré l'indicible caresse je reste d'une grande vigilance. Christine, comme toujours, gémit déjà. Elle aime tant "ça". Moi aussi...

Au bout d'une dizaine de minutes, le fourmillement commence à monter le longs de mes jambes. Christine est déjà à genoux. Je la prends par les cheveux pour la redresser. Elle adore cette initiative. Elle adore être "guidée". Je l'invite à nous assoir sur la première marche de l'escalier. Nous entendons quelques fois une voiture passer dans la rue, en bas. Ma compagne s'assoit à mes côtés.

Se couchant sur le côté, en appui sur ma cuisse, Christine recommence son délicieux pompage. Cette fois-ci je peux vraiment savourer cette nouvelle fellation. Je ne l'apprécie pas de la même manière en étant debout. Je préfère ainsi, la fille sur le côté. Couchée ou assise. Nous repartons pour un nouveau moment de plaisir. Je suis de plus en plus excité. Les possibilités de se faire surprendre m'effraient et m'excitent en même temps. Ma compagne adore ces situations à risques.

Dans la cage d'escaliers il y a une sorte de résonance, ce échos particulier. Aussi, les gémissements lascifs de Christine résonnent d'une étrange façon. Elle suce avec cette gourmandise coutumière qui me ravi. Tout en déglutissant au fur et à mesure les résultats de son pompage. Nous n'avons rien de vraiment important à faire. Cette activité, qui nous enchante, prend donc une dimension paradisiaque.

Au bout d'une bonne demi-heure je me répands dans la bouche de Christine. Dans un râle de plaisir, elle déglutit mon jus. Mes trois saccades habituelles. Comme toujours, soucieuse de ne pas en perdre la moindre goutte, ma compagne procède au vidage du "fond de cuve". Comme toujours, si je veux qu'elle cesse, il me faut la saisir par ses cheveux pour la redresser. Je la laisse donc encore un peu se pourlécher du fruit de ses préférences. Sa "récompense" en quelque sorte.

Peu après, nous descendons les escaliers pour nous retrouver sur le parking de l'immeuble. Nous allons nous promener en ville. En faisant les magasins, dans un rayon, Christine se penche vers moi pour me glisser à l'oreille : < Je me suis régalée pour l'anniversaire d'Annie ! >

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23/01/2015

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