L'ECRIT DE JOIE

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Valérie - 5 - Fellation divine

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                                                           Valérie et la divine fellation 

Dans ses deux derniers courriels Valérie évoque notre premier samedi soir ensemble. Cette première soirée au restaurant. Ce premier rendez-vous où nous sommes montés en voiture à l'auberge. Le trio de musiciens près des ruines du château. La jeune fille insiste sur son ressenti quand à cette soirée mémorable. Elle me propose une récidive le plus tôt possible. Nous fixons un nouveau rendez-vous. Comme cette première fois. Sur le porche de la cathédrale. Quatorze heures. La météo de ce jeudi de mars est enfin plus douce.

J'arrive cinq minutes avant l'heure. Quelle n'est pas ma surprise de voir arriver la jeune fille en même temps que moi. Vêtue d'une jupe noire, de son manteau noir, elle est élégante. Attractive séduisante. Elle est chaussée de bottes noires à talons hauts. Ces longs cheveux noirs flottent en toute liberté sur ses épaules. Comme si elle avait guetté mon arrivée elle se dirige immédiatement vers moi.

Nous sommes une fois encore si heureux de nous rencontrer. Cela devient déjà une agréable habitude. Un grand moment. Nous commençons à l'évoquer souvent. Par courriels comme par téléphone. Nous nous faisons la bise.  J'invite la jeune fille à venir passer le restant de la journée chez moi. Une fois encore cette suggestion semble la ravir. < Oh oui, superbe ! Emmène-moi chez toi ! > me fait-elle en se serrant contre moi.

Sur la route, dans la voiture, Valérie évoque quelques désagréables anecdotes. Des choses concernant sa vie privé. Je deviens son confident. La jeune fille me déboutonne la braguette. Elle aime mettre sa main dans mon pantalon. Elle prétexte le plus souvent, avec un sourire effronté, qu'il y fait bien chaud. Nous rions de bon cœur. J'aime aussi. Et cela lui change les idées.

Arrivés chez moi, après avoir retiré nos manteaux, nous nous mettons à l'aise sur le canapé. Je propose un café et quelques petits gâteaux secs. Lorsque je reviens dans le salon je découvre Valérie, jambes largement écartées, assise de façon lascive. La jeune me regarde d'un air terriblement suggestif. J'avale ma salive. Je reprends ma respiration. Je m'assois sur la chaise à bascule. Devant elle. Je veux profiter pleinement de ce magnifique spectacle.

Les bas noirs de la jeune fille s'arrêtent à mi cuisses. Ils sont retenus par un porte-jarretelle de la même couleur. Je me retrouve immédiatement en  érection. J'apprécie toujours beaucoup ces surprises. Ces instants magiques que savent réserver les femmes entreprenantes. En cette circonstance l'absence de culotte est un cadeau supplémentaire. La toison noire et fournie de son pubis est une invitation aux douceurs les plus exquises. Une petite ficelle blanche pend de la touffe.

 

< Dis-moi, tu me trouves salope ? > me demande t-elle avec l'innocence d'une première communiante. Je la regarde en riant pour lui répondre : < Oui ! Terriblement salope. Mais si tu ne l'étais pas, ce serait d'un ennui profond ! >. Nous éclations de rire. Se levant, Valérie vient m'embrasser tendrement et longuement. C'est pourtant sans sa fougue habituelle. Sa langue est caressante. Mon érection est presque douloureuse.  Contrariée par les tissus de mon slip et de mon pantalon. Une torture délicieuse. Je devine où elle veut en venir.

< J'ai envie de te tailler une pipe > me fait-elle soudain d'une voix douce et innocente. Elle m'observe, curieuse et amusée. Silence.

Je lui lance : < Tu ne veux pas que je te fasse l'amour ? >. Je rajoute encore :  < Rappelle-toi comme c'était bon la dernière fois !>.  < J'ai mes "petits machins" > répond t-elle. C'est la petite ficelle.  Il y a un silence. La jeune fille rajoute : < Et même si ce n'était pas le cas, je voudrais te faire une pipe quand même ! >. Je regarde sous sa jupe. Je fixe son regard. J'ai devant moi la plus spectaculaire des attractions.

Je m'installe sur le canapé. Je dépose le plateau sur lequel sont disposées les tasses et la cafetière. J'ouvre la boîte en fer contenant les gâteaux. Valérie se tourne vers moi pour me dire : < Ce que je t'ai fait dans la voiture, j'aimerais le refaire  dès que possible ! C'était trop bon ! >. Je reste silencieux un instant avant de répondre : < Moi aussi j'aimerais bien revivre cette situation. Tu m'as vraiment fait délirer ! Si tu veux, samedi soir on récidive ! >.

Valérie est assise à côté de moi. Elle pose sa main gauche sur ma braguette ouverte. < Je crois qu'on va s'éclater comme des fous toi et moi ! > me fait-elle. Je la regarde. Son sourire est espiègle. La jeune fille murmure : < Oui, je crois que nous avons beaucoup de choses à partager ! >. Valérie saisit mes deux mains pour me fixer longuement de ses yeux noirs et brillants.

Elle prend une position confortable. Sortant mon sexe turgescent, dont l'extrémité est humide et suintante, la jeune fille se met à me masturber doucement. Comme elle aime à le faire. Elle malaxe la peau de mon prépuce du bout de ses doigts. < Je veux me régaler ! > me fait-elle avant de m'embrasser longuement.

Se mettant à l'aise, se couchant sur le côté, la jeune fille approche son visage de mon sexe. Je peux la voir dans le reflet de l'écran éteint du téléviseur. Je lui en fais part. < Je sais. J'avais remarqué les fois précédentes. Je t'ai même regardé faire la dernière fois ! > me fait-elle, tournant sa tête vers moi. Avec un sourire coquin, Valérie appui son propos d'un clin d'œil.

< Tu n'as pas un DVD porno ? > me demande t-elle. Je la regarde en riant avant de répondre : < Si ! J'en ai ! >.  < Mets-en un s'il te plaît ! > me fait la jeune fille. Je me lève. J'ouvre le tiroir du meuble. Je sors un DVD. Je l'engage dans le lecteur. J'attends.  Le film commence. Une production Californienne de très bonne qualité que j'ai acquis sur un site sécurisé de vente par correspondance.

Je reviens m'assoir. Le générique se termine. Quatre jeunes femmes, Californiennes de rêves, habillées en bourgeoises,  regardent avec attention le petit sexe ridicule d'un culturiste nu. Soupesant, tripotant, branlant, suçant parfois tout en riant, les quatre jeunes femmes rendent tout cela très attractif. La dérision, le second degré. Je trouve que le sexe sans humour est d'une infinie tristesse.

 

Le style Cfnm propose toujours des choses de ce genre. On y baise pas ou alors rarement. Par contre ce sont toujours des situations bien vicelardes. Docteresses, douanières, hotesses de l'air, policières ou encore étudiantes. Tout est si bien filmé. L'homme, invariablement, est le "jouet" de ces dames. Fameux ! Salles d'attente, salles de sport, salles de classe servent le plus souvent de cadre pour toutes ces péripéties hautement excitantes.


Valérie regarde avec amusement et grand intérêt. < J'aime les pornos un peu "glauques" ! > me fait-elle. Elle me masturbe doucement. Puis, se penchant sur le côté, la jeune fille dépose sa bouche sur l'extrémité de mon sexe. Seules ses lèvres exercent une légère succion. Je peux sentir le bout de sa langue qui fouille l'orifice de mon méat. Une fois encore un délicieux vertige me fait chanceler.

Je regarde le film. La sensation est évidemment intense. Au lieu de me masturber en regardant ce film pornographique, je me fais sucer. C'est incomparable. Valérie induit en moi une nouvelle addiction. C'est  une découverte absolument sublime. Par la conjugaison de l'indicible caresse et des images du film, les sécrétions de liquide séminale sont décuplées. Souvent je baisse les yeux. J'observe ma suceuse qui gémit de bonheur. Fabuleusement excitant !

Doucement, les lèvres de la jeune fille coulissent sur mon sexe jusqu'à le gober. Cette sensation de douceur vertigineuse envahit tout mon être. Malgré moi je ferme les yeux. Les images pourtant hautement suggestives du film m'importent soudain très peu. Je n'en ai pas réellement besoin. Je savoure ces instants d'un plaisir indescriptible.

Je me laisse aller. Par contraction de mon périnée, j'agite mon sexe par de petits mouvements réguliers. Cela a également pour effet d'épancher d'abondantes sécrétions. J'entends la jeune fille déglutir encore et encore. Parfois, en même temps, Valérie occupée à sa dégustation, émet des gloussements. Un peu à la manière d'un petit animal. C'est passionnant.

Je cesse. Je reste sans bouger. Je  laisse la jeune fille pomper le résultat de mes petites contractions. Elle savoure en gémissant. Je sens bien que par moment il doit lui être difficile de tout avaler. Sans en perdre et sans baver. Elle se crispe un peu dans ces instants précis. Afin de tout récupérer. Tout cela participe de mon excitation grandissante. Evidemment, tout cela favorise encore davantage de sécrétions. Un cercle sans fin. Un cercle vicieux. Terriblement vicieux.

Lorsque j'ouvre les yeux je peux regarder le film. A tour de rôle les quatre bourgeoises à genoux sucent le sexe ridicule du culturiste. Une sorte de Terminator sans charisme. En retirant sa bouche, chacune d'entre elles, laisse un long filament de liquide séminale épais et visqueux. Ce qui les fait rire comme des folles. Je sens qu'à l'instant présent Valérie déglutit la même chose mais proprement. Et surtout sans rire. Mon excitation est à son comble. Je préfère infiniment "mon actrice" à toutes les autres. Vraiment. Je referme donc les yeux.

Parfois Valérie tourne la tête, tout en suçant, pour suivre le déroulement du film. Cela nous excite considérablement l'un et l'autre. Je recommence mes contractions. Je fabrique du jus. La jeune fille savoure. Elle se régale en émettant des gloussements vicieux. Valérie n'a nul besoin de simuler devant un metteur en scène et un caméraman Californien. C'est pour de vrai...

J'aime à faire durer. Je le dis toujours aux femmes qui désirent me "goûter". C'est la moindre des convenances. Valérie le sait déjà. Au bout de trois quart d'heure, en me contrôlant totalement, sans bouger, j'éjacule en laissant filer un long jet de sperme. Le film arrive à sa fin. Les bourgeoises sucent comme si leurs vies en dépendaient. Valérie, dans un râle, avale par à coups le fruit de sa passion. La résultante juteuse de sa fellation. L'osmose parfaite entre le réel et le virtuel.

Je reste ainsi dans une sorte de "coma" conscient, avachi sur le canapé. Valérie, avec mon sexe semi-mou dans la bouche, déglutit ce qui veut bien encore s'épancher. C'était le pompage du fameux "fond de cuve". La parfaite vidange avant le prochain remplissage.

Je veux repousser sa tête délicatement.  La jeune fille oppose une forte résistance. J'ai un besoin naturel qui commence à se faire sentir. Je fais : < Si tu continues je ne réponds pas de la qualité de ce que tu vas pomper ! >. Avec un gémissement de contentement, Valérie enfonce mon sexe encore plus profondément dans sa bouche. M'emprisonnant ainsi dans une situation où elle est la maîtresse de cérémonie.

Nous repartons pour un second tour. Mon sexe congestionné, presque douloureux, retrouve sa raideur au bout de quelques minutes. C'est toujours une curieuse sensation qu'il faut surmonter avant d'apprécier le second épisode. Mais une fois ce cap franchi, c'est un enchantement paradisiaque de chaque instant. Et je suis un fin connaisseur.

Valérie se remet à suçer avec conviction. Mon sexe redevenu dur s'épanche sans doute d'un mélange étonnant. Avec mon envie de plus en plus pressante il devient difficile de contrôler à la fois le débit et la qualité.  J'entends la jeune fille déglutir de façon régulière. Mon érection reprend avec une vigueur surprenante. Pour réfréner ce débit, je n'ai plus qu'à  recommençer mes contractions. Cela fait diversion à mes sens. Ce procédé permet de me concentrer sur ce qui se passe. Valérie se régale en gémissant. Je suis un peu gêné. Je viens de me lâcher d'un petit jet.

Je contrôle à nouveau totalement la situation.  Mes contractions régulières permettent à la jeune fille de pomper de bonne quantité de liquide séminale. Comme toujours, régulièrement, en parfait gentleman, je lui retire la tête en la tenant par les cheveux. Je permets ainsi à Valérie de reposer sa mâchoire. De pouvoir reprendre son souffle. C'est elle qui force toujours les choses pour y retourner le plus vite possible.

Au bout d'une nouvelle demi-heure j'éjacule en trois saccades. Mes spasmes me secouent de délicieux frissons. Du bas du dos jusqu'à la nuque. Valérie se serrant contre moi, mon sexe toujours dans la bouche, avale en rythme. Les mêmes frissons la secouent tout autant. Elle pompe avec force pour me vider une nouvelle fois complètement. Elle reste ainsi un moment pour sucer jusqu'à la lie.

Enfin, je peux repousser la tête de la jeune fille. Elle se redresse et me fait : < Comme c'est bon. Tu es génial ! >. Je lui murmure : < Toi aussi tu es géniale ! >. Je lui dépose une bise sur la bouche. Tout le bas de son visage est trempé. Des cheveux mouillés collent sur ses joues luisantes. Valérie m'embrasse avec cette fougue qui lui est coutumière. Elle fouille ma bouche de sa langue fougueuse. L'odeur et le goût du sperme exhalent fortement de sa bouche. Sa joue gauche et son menton encore mouillés de sperme sont glissants sous mes doigts.

Cela fait longtemps que le café dans les tasses a refroidi. Cela fait longtemps que le film est terminé. Sur mon invitation nous terminons la soirée au restaurant. Nous en profitons pour élaborer notre prochaine expérience à venir. Rendez-vous dimanche matin, au salon de Thé, pour un solide petit déjeuner. Après un samedi soir ensemble. Juste nous deux...

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18/04/2012

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